LES PAUVRES DOIVENT PRENDRE LEUR RESPONSABILITÉ SELON MACRON ! QUELLE IMPERTINENCE……

LES PAUVRES DOIVENT PRENDRE LEUR RESPONSABILITÉ SELON MACRON ! QUELLE IMPERTINENCE……

Les absents ont toujours torts selon le dicton ! Il est vrai que les pauvres sont absents de sa planète, la réussite financière, intellectuelle et morale. La faiblesse et la médiocrité des pauvres en font des boulets difficiles à effacer de l’univers flamboyant et parfait qui façonne son nouveau monde. La pauvreté dépasse l’imperfection, à ses yeux, elle est résiduelle d’une insignifiance, d’une platitude humaine irrécupérable dans son cosmos.

Mais quelques questions sans réponse planent au-dessus de sa tête. La pauvreté n’aurait-elle pas une raison bien particulière ? Sa philosophie est trop souvent unilatérale, la méconnaissance du peuple, voir du genre humain le place dans une bulle confortable à sa personne et ceux qui lui ressemblent.

Le mondialisme, ce néocapitalisme, sa galaxie incontournable, son « bébé » européen ne doit épargner personne, surtout pas les pauvres. Pour lui, il existe deux types de pauvres. Les bons, d’un intérêt politique indispensable, et les mauvais, les boulets du quotidien.

- Les bons, ces nouveaux pauvres venus d’ailleurs, invités pour bousculer les pauvres locaux sont désormais la sacralité de la discrimination positive de notre cher « Monarque ».

- Les mauvais, les autochtones indésirables, les humains gênants d’une race qui doit disparaitre au plus vite par son remplacement pressant.

Quoi de plus simple de demander aux victimes du système de se responsabiliser, mais de quoi ?

- Portent-ils la responsabilité des méfaits du mondialisme et son libre échange arbitraire ?

- Des fermetures et délocalisations des entreprises et ses licenciements qui suivent ?

- De la désindustrialisation massive, une industrie réduite de moitié en 20 ans ?

- De la surenchère sur la baisse des salaires avec la venue d’une main-d’œuvre plus abordable ?

- De la prise en charge de l’invasion migratoire qu’on leur impose sans vergogne et sans consultation des autochtones ?

Soit ! Malgré tout, reste une responsabilité à charge pour certains pauvres ; le mauvais choix électoral récidivé durant des décennies dans les urnes. Est-elle celle que Macron laisse entendre ? Je ne le pense pas, mais elle reste importante et destructrice pour ceux qui n’ont rien demandés de tel…..

Jehan